• Vengeance ! (Prologue + Chap I et II)

    Prologue, chapitre I et II, vous proposerons une découverte de l'histoire.

    Attention ! Cette histoire mélange fantastique et horreur, ne vous attendez pas à des meurtres en répétition et à du sang qui gicle partout.

    L'histoire va être un peu lente, je peux vous l'accorder, mais les histoires longues sont aussi bien que les courtes !

     

     

     

    Vengeance !

    Prologue

    Le 3 février 1985, un grand groupe d'étudiants du collège Honoré de Balzac, qui est situé dans la ville de Lenvec, se réunissent dans la cour de récréation pour assister à l'humiliation d'Éloïse Vitreuil, élève de troisième, avec les cheveux noirs emmêlés, les yeux gris donnant un regard froid et glacial, une bouche inexpressive. Elle a un trait pour tout ce qui est en rapport avec le sang et le satanisme, enfin, ce dernier, est plutôt une rumeur. Une bonne partie des élèves la déteste pour une simple raison : quelqu'un la choisie comme souffre-douleur de service.

     

    Ces élèves lui réservent l'humiliation finale, les élèves populaires commandent les opérations et permettent à tout les élèves présents de se défouler. Les élèves, qualifiés de « racailles », ne se font pas prier et donnent des coups si fort qu'Éloïse s'évanouit. Un surveillant alerté par les cris des élèves proclamant le mots : « bagarre » ou toutes autres grossièretés, accoure vers le corps mort ou vif de la pauvre collégienne, il appelle les secours qui arrivèrent en un instant et constate la mort d'Éloïse Vitreuil à 10h24. Les élèves furent tous jugés mais furent acquittés pour raison qu'ils n'ont pas l'âge requis pour être emprisonné, le collège fut fermé pendant 29 ans.

     

    Chapitre I : La réouverture

     

    La ville de Lenvec fut en effervescence, car le principal Maroget décide de rouvrir le collège qui fut fermé pendant une période de 29 ans, ce lundi 1 septembre 2014.

    Noëlle Lesuffleur, jeune fille de 13 ans, avec les cheveux auburn, les yeux verts, d'une taille moyenne, rentrait en classe de quatrième pour sa part et redoutait un peu le collège de la ville, car comme tout les jeunes de sa bourgade, elle a entendue les rumeurs circulant sur l'établissement. Avec une certaine appréhension, elle passa le portail du collège et découvrit une cour de récréation assez grande, 4 bâtiments, qui contenaient les salles de cours et la salle de permanence, le bâtiment de l'administration, le bâtiment de la cantine, au sous-sol, un préau et les toilettes, et le bâtiment de la bibliothèque. Elle fut répartie en 4°1 et se retrouva avec ses amies, Sabine, Sarah et Stéphanie. Elle avaient plutôt de la chance, elle commençait par son cours préféré, le cours de physique-chimie.

     

    Elle pensait tout de même au rumeurs circulant sur ce collège, qui lui faisait peur -car comme vous le savez, il a eu un meurtre au sein de l'enceinte de l'établissement-, ce lieu, pour elle, transpirait la peur et l'inquiétude. L'heure de la récréation a sonné, et tout les élèves descendirent en trombe jusqu'à la cour.

     

    Elle constata vivement qu'on avait déjà désigné les bouc-émissaires. Son analyse des personnes fut vite écourté par un gros nuage noir menaçant et étrange qui s'approchait du collège, tout le monde rentra vite dans le préau et virent un orage plutôt violent. Le principal fut perplexe à l'approche de cet orage, pendant sa « pause », il avait accompli des voyages à travers le monde entier et reconnut un orage des zones tropicales. Une panne de courant est constaté, les élèves ont peur et ont pour ordre de se rendre à leur prochain cours. Le nuage noir ne laissa échapper aucun rayon de soleil ou un seul coin de lumière, ce qui rendait une atmosphère inquiétante. Le courant revint vite et dans la classe de 4°1 fut constaté qu'un élève a disparu, sur la chaise, il avait un bout de papier sur lequel était écrit avec du sang : « Ce n'est que le début ! ». La classe fut envahi par la panique et le professeur de mathématiques fut choqué par la disparition subite, le professeur accourut chercher le principal, qui lui-même, constata l'étrange phénomène.

     

    Noëlle fut tout de suite attristé, car l'élève était un de ses amis, il se prénommait Julien, son meilleur ami depuis de longues années. Les autres cours se passèrent sans encombre et Noëlle ne décida ne rien dire à ses parents. Son père est professeur de physique-chimie dans un autre collège, le collège Robert Schumann, situé à plus de 20 km de Lenvec.

    Chapitre 2 : Une crainte

    Noëlle vivait parmi une famille étrange, son père était, pour elle, un humain normal. Les Lesuffleur était assez étrange, le grand-père se revendiquait médium, son oncle Léopold également,sa tante Berthe se revendiquaient voyante. Quelques cousins se disaient télépathes, toute une famille pour plaire.

     

    Depuis les événements de la veille, Noëlle ne se sentait guère en sécurité au collège, elle n'a jamais demandé véritablement à son père de ce qui s'est véritablement passé, il y a 29 ans. Elle ne pouvait toujours pas imaginer que son meilleur ami Julien, put être enlevé. La gendarmerie, en charge de l'enquête, n'a trouvé aucunes preuves sur la disparition ou la mort de Julien. Ce n'est que le début, cette phrase, elle y repensait, mais ne sachant pas quoi faire. Elle se dirigea vers le salon et dit à son père :

    « Papa ! Quelque chose d'étrange est arrivé hier au collège.

     

    • Qu'est-ce-qui c'est passé ? Demanda-t-il d'un regard intrigué

    • Il a eu un orage qui a provoqué un court-circuit, et la remise du courant, Ju...Julien a disparu, et...et...ce qu'on a retrouvé sur...la chaise, était un...un...bout de papier écrit : ce n'est que le début ! Dit-elle avec un sanglot.

    • Un enlèvement, le premier jour ! S'étonna le père.

    • Oui...le mot était écrit avec du sang.

    • Eh bien, pas joyeux, j'espère que la police va le retrouver. Allez dépêche-toi, tu vas être en retard et moi aussi. Répliqua-t-il d'une voix neutre.

    Elle marcha vite jusqu'aux bâtiments de l'école et alla retrouvé ses amies qui furent toutes peu loquaces. Le premier cours de ce mardi, était un cours d'histoire-géographie qui parlait du siècle des Lumières, un cours tout à fait normal, sauf que toute la classe avait la sensation d'être observé. Oui, observé, par quelqu'un depuis le dessus du tableau, un sentiment de malaise se fit sentir et on vit un pentagramme se dessinait sur le bureau du professeur, qui avait un sentiment d'étonnement mélangé de peur. La cloche sonna, le professeur d'histoire demanda le concierge d'enlever le pentagramme mais le concierge ne put enlever avec tout les produits nettoyants et toute sa force pour frotter. Le cours suivant était celui de mathématiques, et les conversations des élèves furent vite envahi par ce pentagramme qui est apparu comme enchantement. L'heure de la récréation sonna et tout le monde reparlait de ce fait qui s'était produit. Noëlle et ses amis virent le principal se dirigeait vers la salle d'histoire et à sa sortie du bâtiment, il fut étonné et apeuré comme le professeur Letangt. Après la récréation, les 3 amies avaient un cours de sport, le sport pratiqué était le handball. Elles se mirent dans la même équipe, car toutes les trois faisaient du handball. Le cours de sport n'eut aucun incident (je tiens à vous rappeler chers lecteurs : disparition et apparition d'un pentagramme) et le calme s'était vite retrouvé parmi les étudiants.

     

    Vers midi, les collégiens mangèrent du blé avec des côtes de bœuf mal cuites, ce qui ne changeait pas des menus de l'ancien collège où était Noëlle (oui, je tiens à le rappeler : le collège était fermé de 1985 jusqu'à la rentrée 2014). Le reste de la journée fut calme et Noëlle rentra chez elle rapidement, la pluie commençait à tomber.

     


  • Commentaires

    1
    Mercredi 22 Juin 2016 à 15:38

    Je tiens à préciser pour le lecteur de cette histoire, que je ne suis pas véritablement les dates de l'année 2014 et celle de 2015.

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