• Vengeance (Chap III et IV)

    Plusieurs rebondissements en l'espace d'un mois !

    Attention ! Certaines descriptions pourront heurter la sensibilité de plusieurs personnes ! 

     

    Chapitre 3 : Des révélations et autres ?

     

    Mercredi, jeudi, vendredi, c'étaient passés sans encombre. Ce week-end, Noëlle devait rendre visite à son grand-père médium, elle décida tout de même lui raconter de ce qui s'est passé les 2 premiers jours au collège. Elle s'installa à côté de son grand-père, un vieil homme, cheveux gris avec une calvitie, et des sourcils prédominants, la collégienne commença :

    «Grand-père, il s'est produit des choses bizarres au collège, lundi et mardi

     

    • Qu'est ce qui c'est passé ?

    • Eh bien, lundi, un orage particulièrement violent s'est manifesté, une coupure de courant a eu lieu, et à la remise du courant, un élève a disparu et on a retrouvé sur sa chaise, un mot écrit avec du sang disant : ce n'est que le début ! Dit-elle en contenant sa tristesse

    • Intéressant, et qu'est ce qui s'est passé le lendemain ? Interrogea Grand-Père, intrigué par cette histoire.

    • Le mardi, toute la classe a eu une sensation d'être observé par quelqu'un ou quelque chose qui venait du tableau, après quelques minutes avec cette sensation, un pentagramme inversé a commencé à se dessiner sur le bureau du prof. Répondit-elle

    • Je ne sais pas à quoi vous avez à faire, mais cette chose, est plutôt quelqu'un qui cherche quelque chose, mais quoi ?

    • Papa, arrête de lui raconter de telles idioties, ce n'est qu'une enfant ! Intervint le père de Noëlle

    • Mais papa, c'est quelque chose de toute même étrange, qui s'est produit, j'ai le droit de savoir ce que c'est ! Imagine que la prochaine victime de cette chose soit moi ! S'exclama Noëlle.

    • Ma fille, je ne veux qui t'arrive aucun mal. Nous te laissons papa, on doit partir ! Dit le professeur de physique-chimie qui voulait interrompre la discussion »

    Le chemin de retour fut silencieux, une tension se créait entre le père et la fille, mais elle pensait que ce ne serait que passager. L'étudiante sait que son père lui cache quelque chose et arrête toutes les conversations traitant de ce sujet. Après être rentré, Noëlle fila chez Sarah, et lui exposa la situation, elle lui précisa également que son père avait une crainte sur ce collège. Sarah était une amie de Noëlle de longue date, l'ami de Noëlle, a les cheveux châtains et les yeux marrons, c'était sa confidente attitré et lui dit :

    « Sarah, mon père ma cache quelque chose et je me demande bien quoi

     

    • Peut-être que lui aussi a entendu ces rumeurs de plus de 20 ans

    • Bien sûr que oui, qu'il les a entendues, sinon, il ne serait pas si inquiété ! Répondit Noëlle à l'hypothèse de Sarah

    • Ce n'est pas par hasard que Julien a disparu...

    • Et, ce n'est non plus par hasard qu'un signe satanique est apparu sur le bureau du prof. Dit Noëlle en continuant la phrase de son amie.

    • Mais que disent les rumeurs, Noëlle ?

    • Bien, elles disent que quelqu'un a été tué, il y a de nombreuses années.

    • Tu penses que le collège est hanté par un esprit ? Interrogea Sarah

    • Non ! Seul un idiot, naïf, pourrait croire à ses idioties. Bon je dois te laisser Sarah, ça va être bientôt l'heure de dîner et je ne veux pas que ma mère me passe un savon. »

    Après être sortie de la maison de Sarah, elle se rendit chez elle, comme à son habitude, elle ne prenait jamais de vélo pour aller quelque part. Une fois rentrée, elle se lava les mains et mit la table, à 19h30, la famille passa à table et Noëlle allait se coucher.

    Le dimanche, Noëlle a dormi toute la matinée, et a passé son temps sur son téléphone l'autre partie de la journée. Le lundi 8 septembre, elle se leva de bonne heure et se prépara pour aller à l'école, elle repensait aux choses que son grand-père lui a dit et que sa meilleure amie a fait comme hypothèse, son trajet fut tourmenté par ces idées, mais elle arriva vite au portail du collège.

    Le cours de physique-chimie commença et le professeur comme à son habitude, impressionnait les élèves avec une mini-explosion, ces « tours de passe-passe » n'attiraient plus l'attention de Noëlle depuis longtemps (son père est professeur de SPC), et son regard se tourna vers la porte, toujours cette impression d'être observé, après la démonstration du prof, elle commença a écrire ses réponses pour les exercices. A la récréation de 10 heures, quelque chose fut retrouvé, ce quelque chose fut une jambe ensanglanté, le reste du corps n'est pas encore retrouvé. La panique fut saisissante et les élèves eurent ordre de tout de suite se rendre à leurs cours respectifs. Après les 2 heures de cours, une femme de ménage ouvre les portes des toilettes et découvre un torse, sur le mur, il est écrit avec le sang de la victime : « Fuyez pour vivre ! ». Les autorités furent appelés et retrouvèrent une tête derrière un buisson, deux bras en dessous d'un banc, et une autre jambe accrochée dans les branches du sapin de l'école. Les autorités constatèrent que les membres retrouvés appartenaient à la même personne. L'identité de la personne fut établie, la personne morte et démembré était Louise Noret, la peste du collège.

    Le compteur établi par les élèves ainsi que la gendarmerie annonçait 1 disparu et 1 mort, le principal ne ferma pas le collège.

    L'affaire figure en première place des journaux qui ont saisi l'opportunité d'avoir plus de ventes.

     Chapitre 4 : Un majestueux

    Le lendemain, le père de Noëlle fut au courant des évènements avant même que sa fille lui en parle, ces derniers ont fait le tour de la région en moins de quelques heures. Comme chaque mardi matin, contrairement aux autres matins, il prend un cappuccino au lieu d'un café normal, et lit Le Matin Lenvecois, le journal local qui parlait des évènements de la veille. Noëlle descendit vers la cuisine et vit son père plongé dans la lecture de son journal, la une disait : « UN CORPS DÉMEMBRÉ AU COLLÈGE HONORÉ DE BALZAC », son père vit sa fille rentrait dans la cuisine et lui dit de s'installer, son bol de céréales habituel était déjà préparé, son père fut muet ce matin et ne lui adressa qu'un en revoir rempli d'inquiétude.

    Les conversations des élèves étaient axées sur le sujet du journal local, Noëlle entendit très vite que quelqu'un rôdait dans le collège, un dangereux psychopathe pour les plus précis. Noëlle ne voulait en apprendre plus par la part des élèves les plus cultivés de l'école, les intellos en somme.

    Chaque élève était devenu paranoïaque, certains plus que d'autres. Le reste du mois de septembre se passa sans encombre mais début septembre ne fut oublié.

    Mercredi 1 octobre, l'automne commençait à se faire sentir, les élèves étaient toujours peu enjoués d'aller à l'école, Noëlle faillit arriver en retard et arriva 1 minutes avant la sonnerie et alla vite en cours d'anglais, ce cours faisait parti des meilleurs cours d'école, Madame Littleham, anglaise, fille d'une mère française, était une professeur assez sympathique mais exigeait une rigueur dans le travail des élèves. Rien ne s'était encore passé, mais on attendait quelque chose, un meurtre, une disparition, apparition de symboles sataniques, ces derniers étaient attendus par tous. Pendant le cours d'anglais, les élèves entendirent un grand bruit et virent un arbre gisant au sol, c'était le vieux mélèze, ils ne virent aucun bûcheron, aucune tronçonneuse ou aucune scie, ou quelconque instrument qui permettrait de déterminer qui l'a coupé. A la sonnerie de 10 heures, les élèves constatèrent le majestueux arbre au sol totalement déraciné, dans le trou où les racines de l'arbre se trouvaient, on découvrit un corps avec la tête à moitié enfouit dans la terre. Les autorités furent appelées, et appelèrent des bûcherons pour dégager l'arbre qui est sur le sol de la cour. Après une autopsie en règle, le corps d'Hugo Sares, est mort par asphyxie. Encore un mort sur les bras, les autorités fut encore très perplexe, qui aurait pu enlevé un mélèze de la terre, et mettre un corps dans le trou béant laissé.

    Le soir, le père de Noëlle l'interrogea sur ce qui s'est passé de la journée, Noëlle ne dit rien car encore choqué par la découverte du corps et elle sait que l'affaire sera couvert par le journal local et que son père va le lire comme chaque matin.

     


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